Le code de déontologie, partagé par les membres de ÊTRE SOI, traduit les valeurs et les idéaux dominants de la société.
Il fait référence à l’ensemble de principes et règles éthiques qui gèrent et guident notre activité professionnelle. Il détermine les devoirs minimums exigibles par les professionnels dans l’accomplissement de leur activité professionnelle quel que soit le cadre et le mode d’exercice.
Le code de déontologie de ÊTRE SOI est destiné aux praticiens individuels et aux organismes affiliés.
Chaque membre de ÊTRE SOI se doit de signer ce code.
La commission d’admission décide d’admettre les praticiens individuels « EXPERTS » ÊTRE SOI après examen approfondi des candidatures.
Sont représentées plus d’une vingtaine de méthodes en thérapies corporelles, psychocorporelles, en psychothérapie ; cette dernière étant regroupée en cinq principaux courants : psychanalytique, humaniste, cognitivo-comportemental, systémique et intégratif.
Ces praticiens figurent dans l’annuaire ÊTRE SOI.
Ils sont médecins, psychiatres, psychologues, psychothérapeutes, psychopraticiens, coachs, certifiés dans leur méthode de référence.
Leurs interventions en situation individuelle, groupale ou institutionnelle relèvent d’une diversité de pratiques telles que l’accompagnement psychologique, le conseil, l’évaluation, l’expertise, la formation, la psychothérapie, la recherche, le travail institutionnel. Leurs méthodes sont diverses et adaptées à leurs objectifs.
Aujourd’hui, on constate qu’il existe de très nombreux outils et pratiques thérapeutiques. Cette offre nombreuse et variée rend un choix difficile et nous ne savons pas vers quel thérapeute nous tourner ou quel outil utiliser.
ÊTRE SOI, est la première plateforme en France à répertorier et à expliquer en vidéo les principales pratiques existantes, dans le domaine des thérapies corporelles, psychocorporelles et les psychothérapies.
ÊTRE SOI, a pour vocation de :
Ce qui nous réunit :
Notre réseau se réunit autour de valeurs fortes :
Thérapeutes ayant des pratiques différentes et complémentaires, nous avons le désir et le plaisir de nous retrouver et d’échanger entre nous, de créer du lien, d’organiser des évènements en commun, de s’entraider, mais également d’orienter un client vers notre collègue dont la pratique serait plus adaptée à ses besoins.
Connecter les uns avec les autres parce que l’union fait la force…
Valeur fondamentale de notre communauté. Un sourire, une parole, un geste, un soin, un moment d’attention et de partage… Nous œuvrons tous à l’épanouissement de chacun.
Nous privilégions des échanges inspirés par la communication bienveillante : s’exprimer depuis son propre point de vue, sans faire de suppositions sur les intentions des autres, exprimer ses propres émotions et besoins, utiliser un langage courtois.
Lors de nos rencontres, nous aimons partager sur nos pratiques et expériences afin de nous enrichir toujours davantage, d’appréhender les situations avec une plus grande ouverture et transmettre nos connaissances au plus grand nombre à travers nos pratiques, nos formations, nos conférences et nos articles.
Chaque praticien s’engage à respecter notre charte de déontologie. Elle a été signée et chaque membre s’engage à la respecter.
L’Autre est accueilli avec respect et bienveillance, ses différences sont une source de richesse. Nous nous accordons également le droit au doute : doute sur soi, car nous sommes en recherche, et doute sur l’Autre, car il est différent de nous, c’est pourquoi nous devons apprendre à le connaître. Cela signifie également que nous tâchons d’être prêt à nous remettre en question et à être remis en question par l’Autre.
Chacun assume la responsabilité de ce qu’il dit propose et de ce qu’il présente au réseau.
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
Aucun être humain ne peut faire l’objet d’une quelconque discrimination, quelle qu’elle soit sexe, orientation sexuelle, handicap, âge, race, origine ethnique, couleur, nationalité, religion ou conviction, langue, origine sociale, naissance, fortune, opinions politiques
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
1- Le praticien réfère son exercice aux principes édictés par les législations nationale, européenne et internationale sur le respect des droits fondamentaux des personnes et spécialement de leur dignité, de leur liberté et de leur protection.
2- Il s’attache à respecter l’autonomie d’autrui et en particulier ses possibilités d’information, sa liberté de jugement et de décision.
3- Il favorise l’accès direct et libre de toute personne au thérapeute de son choix.
4- Il n’intervient qu’avec le consentement libre et éclairé des personnes concernées.
5- Il préserve la vie privée et l’intimité des personnes en garantissant le respect du secret professionnel.
6- Il respecte le principe fondamental que nul n’est tenu de révéler quoi que ce soit sur lui-même.
1- Chaque praticien est garant de ses qualifications spécifiques.
Quelque soit leur titre, chaque membre doit justifier :
– d’une formation professionnelle théorique, méthodologique et pratique apte à créer une compétence de praticien.
– d’une pratique de la profession (2 ans minimum pour les thérapeutes « experts » ÊTRE SOI)
– d’une accréditation par ses pairs
– d’un engagement à respecter le code de déontologie de sa profession
– d’une psychothérapie approfondie
– d’une supervision permanente tout au long de la pratique professionnelle
2- Il se doit de poursuivre son développement professionnel et personnel, de réactualiser régulièrement ses connaissances, car le monde de la psychothérapie est en perpétuel mouvement.
3- Lors d’entretiens préliminaires et au cours de ses consultations, le praticien doit être clair et honnête quand aux informations données aux clients sur ses formations, ses domaines de compétences, et sur son expérience.
4- Dans le cadre de ses compétences professionnelles, le praticien est responsable des méthodes, techniques, outils qu’il utilise, crée et des propos qu’il tient.
5- Il doit être en capacité de présenter sa démarche, ses méthodes et ses modes d’intervention de façon claire et raisonnée.
6- De faire respecter la particularité de sa démarche et de ses méthodes.
7- De respecter, lui-même, les démarches et méthodes des autres professionnels.
8- Le praticien se doit d’accepter toutes interventions compatibles avec ses fonctions, formations et ses compétences.
9- Le praticien définit seul ses propres limites compte tenu de sa formation et de son expérience.
10- Il en est de sa responsabilité éthique de refuser toute intervention n’entrant pas dans ses champs de compétences.
11- Si, en cours de thérapie, le praticien se trouve confronté aux limites de sa compétence, il devra adresser son client à un collègue ou tout autre spécialiste.
12- Avant toute intervention, le praticien s’assure du consentement libre et éclairé de son client.
Si c’est un mineur, le consentement écrit des détenteurs de l’autorité parentale ou des représentants légaux.
13- Tout praticien ne possédant pas les diplômes universitaires requis, les formations, compétences requises ne peut établir de diagnostic et ni donner aucune interprétation personnelle sur l’état physique et psychologique, de son client.
14- Les praticiens de médecines conventionnelles ou non, s’accordent pour dire que les approches non conventionnelles ne doivent en aucun cas remplacer les approches de soins médicaux conventionnels et invitent leurs clients dont l’état de santé nécessite une prise en charge d’effectuer les démarches nécessaires auprès des premiers nommés.
15- Le praticien doit être en mesure d’évaluer ses propres capacités à poursuivre son activité professionnelle en cas de crise personnelle (burn-out, maladies etc) ou à la suspendre ou à l’interrompre, et, à reprendre si nécessaire une thérapie personnelle ayant pour but de rétablir son état de santé.
16 – Le praticien doit assurer la sécurité de ses clients dans son lieu d’exercice de sa spécialité.
17- Il se doit d’avoir souscrit une assurance professionnelle dès (ou avant) le début de son activité.
La notion de relation thérapeutique fait référence à la dimension relationnelle dans les soins entre le praticien et son client. Cette relation thérapeutique est fondée sur la confiance, le respect, l’intimité, la protection du consultant et l’emploi judicieux du pouvoir conféré aux praticiens.
1- Le praticien doit ainsi être conscient de la dissymétrie possible de la relation, des transferts négatifs pouvant aller jusqu’à une réaction thérapeutique négative, qui engage sa responsabilité professionnelle.
2- Le praticien peut aussi manifester consciemment ou inconsciemment des attitudes qui ne sont pas favorables au maintien de la relation thérapeutique. Il est alors nécessaire qu’il s’interroge sur ses contre-attitudes ou son contre-transfert. Ce travail fait partie intégrante de son rôle de thérapeute et fait l’objet de son travail de supervision.
3- Le praticien devra en toute circonstance faire preuve de prudence, de mesure, de discernement et d’impartialité.
4- Le praticien s’interdit tout abus de pouvoir et d’influence. Il a pour obligation de ne pas exploiter une relation professionnelle à des fins personnelles, de prosélytisme, religieuses, sectaires, politiques, économiques, affectives, sexuelles ou en vue de tout autre intérêt idéologique.
5- Le praticien se doit d’être conscient que tout autre type de relation, quelle soit amicale, sentimentale, sexuelle parallèle à la relation thérapeutique, altère le processus thérapeutique.
6- Tous contacts d’ordre physique se doivent d’avoir uniquement une intention thérapeutique et le consentement du patient préalablement requis.
1- Tout contrat, écrit ou verbal, entre le praticien et son client constitue un engagement.
2- Le praticien a la responsabilité d’exprimer de manière claire et précise les termes du contrat thérapeutique. Il a pour obligation d’informer de façon intelligible les objectifs, les modalités, (le montant des prestations, le lieu, la fréquence et durée des séances, les séances manquées ou annulées ), les limites de son intervention et des éventuels destinataires de ses conclusions.
3- Lorsque le praticien s’engage dans un processus de soin, l’obligation d’obtention de résultat n’est pas requise. En revanche, il lui appartient d’assurer les meilleurs soins.
4- Le praticien s’assurera en retour de l’engagement de son client.
Il informera son client de sa part de responsabilité, de coopération active dans le processus thérapeutique.
5- Tout changement dans le contrat devra être expliqué au client (interruption, changement de méthodes, orientation vers un autre praticien, etc.) et implique une renégociation du contrat si cela s’avère nécessaire.
Le secret médical se justifie par l’obligation de discrétion et de respect de la personne. Il est un des droits fondamentaux de la personne. Il est destiné à préserver le rapport de confiance entre le praticien et son client.
ÊTRE SOI, reprend l’article 4 du Code de la déontologie médicale : « Le secret professionnel, institué dans l’intérêt des patients, s’impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi. Le secret couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l’exercice de sa profession, c’est à dire non seulement ce qui lui a été confié mais aussi ce qu’il a vu, entendu ou compris ».
1- Dans le cadre de sa pratique, le praticien est amené à obtenir des informations personnelles et confidentielles sur ses clients. Ainsi, à la fois conscient de ses responsabilités, de la relation de confiance établit entre lui et son client, et du secret professionnel qui le lie à son client, le praticien s’engage à une discrétion absolue, à préserver l’anonymat de ses clients et à faire respecter cette clause de confidentialité aux personnels, collègues dont il peut-être entouré.
2- Il n’appartient pas au client de permettre au praticien de passer outre à ses obligations de discrétion et de confidentialité.
3- Le Praticien ne diffusera aucune information identifiable sur ses clients dans les divers réseaux sans leurs consentements écrits dûment signés.
4- Lors d’un travail en équipe (hôpital, institution, etc.) ou dans un processus de co-thérapie avec d’autres praticiens, le client doit être informé que des informations le concernant puissent être partagés.
Dans le souci de protection de la vie privée, seules les informations nécessaires à la finalité professionnelle seront partagées et avec l’accord du client.
5- Il en est de la responsabilité du praticien de s’assurer qu’aucune séance ne soit entendue ou observée par quiconque, sans l’autorisation manuscrite de la personne.
6- Dans le cadre d’une pratique de groupe, la présence d’une tierce personne n’est possible qu’avec l’accord du groupe et avec l’obligation de confidentialité.
7- Les photos, les enregistrements audio ou vidéo d’une séance n’est possible qu’avec l’accord écrit préalable du client ou de son représentant légal. Un contrat précisera les modalités de l’enregistrement, de la diffusion, et sera signé par les deux parties.
8- Dans le cadre d’une étude, formation, supervision, l’enregistrement et la diffusion audio ou vidéo sont soumis à la règle de confidentialité. Le praticien s’assure de la protection de l’anonymat de chaque personne présente ou l’obtention de leur accord pour l’enregistrement et la diffusion.
9- Si le praticien souhaite utiliser des informations sur un client, lors d’une conférence, formation, étude de cas, publication…, il est tenu de préserver l’anonymat de la personne (nom, lieu, et autres éléments spécifiques) afin que celui-ci ne puisse être identifié.
– Pour une publication, nulle autorisation n’est demandée au client. Le praticien assume l’entière responsabilité de ses écrits.
10- Le praticien qui prend des notes, devra en cas d’arrêt d’activité détruire ces notes, à condition que la destruction soit faite de manière à ce que la confidentialité des renseignements qui y sont contenus soit assurée. (cf législation civile et pénale).
Le secret médical peut être levé dans trois cas : sévices ou privations sur mineur ou personne vulnérable ; violences sexuelles (si la victime autorise la levée du secret) ; et lorsqu’un individu « détenant une arme à feu ou ayant manifesté l’intention d’en acquérir une » présente « un caractère dangereux pour lui-même ou pour autrui » (article 226-14 du Code pénal.)
1- Il peut y avoir des situations où le client ou son environnement représente un danger pour lui-même ou pour les autres. Le praticien « doit mettre en œuvre tous les moyens susceptibles de porter secours à personne en péril. »
2- Si les mesures prises par le praticien modifient le contrat de confidentialité initialement établit, le client est informé de ce changement, dès que possible.
Seules les informations nécessaires et utiles à la protection du client seront communiquées. Les clauses de confidentialité seront rétablies dès que la situation le permettra.
3- Si le client informe le praticien de sévices, de violences, de situation d’abus, il devra évaluer la situation et prendre les mesures nécessaires à la protection de son client, en respectant la législation en vigueur sur ce sujet.
4- Si le client est mineur ou personne vulnérable (au sens de la législation), le praticien devra se référer à la législation en vigueur.
1- Le praticien entretient avec ses confrères, et autres praticiens de professions voisines, des relations de respect, d’honnêteté, de bienveillance.
2- Le praticien respecte les références théoriques et les pratiques de ses collègues pour autant qu’elles ne dérogent pas aux principes généraux du présent Code. Ceci n’exclut pas la critique argumentée.
3- Si un praticien est informé qu’un de ses collègues, nuit par sa pratique à la réputation de la profession, à ses clients, étudiants, il est de son devoir d’interpeller ce collègue et/ou son association professionnelle.
4- Lorsqu’un client recherche un thérapeute ou une pratique, le praticien respecte et facilite le libre choix de la personne. Il ne fait pas de rétention d’information mais guide la personne sur les autres possibilités d’accompagnement et de thérapies existantes chez d’autres collègues ou institutions.
5- Lorsque plusieurs praticiens interviennent dans un même lieu professionnel ou auprès de la même personne, ils se concertent pour préciser le cadre et l’articulation de leurs interventions.
6- Le Praticien ne peut accepter des avantages financiers pour avoir adressé un client à un autre collègue ou à une institution.
1- Le Praticien respecte la réglementation nationale en ce qui concerne son domaine d’activité, son code APE, sa plaque professionnelle, les informations qu’il communique dans les journaux, dans les annuaires et sur internet.
2- Le praticien a une responsabilité dans la diffusion de sa pratique et de l’image de sa profession auprès du public et des médias. Il fait une présentation de sa technique, de ses applications et de son exercice en accord avec les règles déontologiques de sa profession.
Il use de son droit de rectification pour contribuer au sérieux des informations communiquées au public.
3- Le praticien n’évoque aucune quelconque supériorité et ne dénigre en aucun cas l’efficacité des autres soins, thérapies, collègues, écoles et organismes.
4- Il n’utilise pas ses clients à des fins publicitaires.
5- Le praticien doit faire preuve de discernement, lors d’interventions publiques (manifestations, conférences, interviews par les médias, articles, publications, documents pédagogiques, …) sur les méthodes et techniques qu’il utilise.
Il se montre vigilant quant aux conditions de sa participation à tout message diffusé publiquement.
Il s’abstient de tout propos et de toute action qui porteraient atteinte au renom ou à l’activité professionnelle d’autres praticiens ou professions.
1- Tous les principes et règles de cette charte s’appliquent aux relations entre formateurs et étudiants, superviseurs et supervisés.
2- Les formateurs vérifient les qualifications, aptitudes, habiletés, et attentes propres à chaque candidat. Ils leur fournissent toutes informations sur le cursus, la validation et le coût des formations, ainsi que sur le statut légal et économique du titre de praticien correspondant à leur formation.
3- Le superviseur s’assure que les supervisés respectent les règles déontologiques du présent Code et le Code de déontologie spécifique à leur profession.
Il s’assure que se développe la réflexion sur les questions éthiques et déontologiques liées aux différentes pratiques : enseignement, formation, recherche…
4- Les étudiants ne peuvent être considérés comme des patients ou des clients. Le formateur a pour seule mission de les former professionnellement, sans exercer sur eux une quelconque pression.
5- Les formateurs présentent leur enseignement, en tenant compte de la pluralité des cadres théoriques, des méthodes et des pratiques, dans un souci de mise en perspective et de confrontation critique. Les formateurs bannissent ainsi tout endoctrinement et sectarisme.
6- Dans les relations entre formateurs et étudiants, les formateurs s’interdisent tout abus de pouvoir et d’influence dans quelque domaine que se soit dans leur intérêt ou dans l’intérêt de toute autre personne ou institution. Conscients de leur fonction, ils sont particulièrement attentifs aux liens de dépendance, d’idéalisation et de contrôle.
7- Le praticien évite de cumuler sa fonction de thérapeute avec celle de formateur, afin d’éviter une confusion des rôles.
1- Tout Praticien, membre du réseau ÊTRE SOI poursuivi en justice par un autre praticien, doit en informer la commission.
2- Si un membre du réseau ÊTRE SOI est sanctionné pour non-respect de la déontologie de la part d’un organisme, d’un praticien, lié à la thérapie ou apparenté, il est tenu d’en informer la commission.
3- En cas de constat lié à un manquement d’un des membres du Réseau ÊTRE SOI à ce code, toute personne se doit de contacter la commission.
4- Tout signalement (plainte, accusation) devra être fait au plus près de la date des faits et devra être adressé à la direction avec un courrier explicatif et tous documents jugés utiles.
5- Après étude de la recevabilité du signalement et des informations en sa possession, la direction peut décider : de mettre en place avec les membres de son équipe une commission ponctuelle de Déontologie, de faire une réunion pour examiner la situation présentée.
6- Le plaignant et la personne mise en cause seront tenues informées de la procédure mise en place par la commission.
7- Cette procédure interne, ne se substitue pas à une démarche judiciaire. En fonction des faits le plaignant peut engager une procédure judiciaire.
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